8 avril 2017
Yves Lines
de L’ASSOCIATION « INFINITUDE«
MONIQUE BLANC-GARIN A REJOINT CET AU-DELÀ QU’ELLE A TANT SERVI. JE ME SOUVIENS DES MERVEILLEUX MOMENTS QUE J’AI PASSÉS AVEC ELLE ET JACQUES AUSSI, LORSQUE JE FAISAIS PARTIE DU COMITÉ DE L’ASSOCIATION « INFINITUDE ». CE FUT DES MOMENTS DE PARTAGES, DE BONHEUR ET DE COMPLICITÉ LORSQUE NOUS FAISIONS ÉGALEMENT LES « TOURS DE FRANCE DE LA T.C.I »
NOTRE ASSOCIATION « SOURCE DE VIE TOULOUSE » LUI REND UN HOMMAGE QUI SOULIGNE TOUT CE QU’ELLE A TANT DONNÉ A BEAUCOUP DE PERSONNES EN SOUFFRANCE, POUR LEUR APPORTER LE RÉCONFORT ET L’ESPÉRANCE DANS LEUR IMMENSE DOULEUR. MONIQUE RECEVAIT AUSSI DE TRÈS BEAUX MESSAGES EN ÉCRITURE MÉDIUMNIQUE.
NOUS ADRESSONS ÉGALEMENT, DANS CETTE ÉPREUVE, NOS PENSÉES DE SOUTIEN A JACQUES BLANC-GARIN.
Nous avons recopié ci-après le bel Hommage qu’il lui a dédié sur la revue trimestrielle qu’il édite, le « MESSAGER » du mois d’avril 2017 :
Hommage à mon âme sœur
La Tci, l’écriture et l’immortalité de l’amour
Monique Blanc-Garin, ma chère épouse, a revêtu son habit de lumière en passant dans le monde de l’au-delà à l’âge de 82 ans.
Parler de l’immense peine que je ressens serait vain, aucun mot ne pourrait la décrire, car c’est une importante tranche de vie de 25 ans d’actions communes et de complicité qui disparait. Le vide et la solitude ont remplacé sa douce présence, même si dans les derniers instants je lui ai dit de partir et de ne pas s’occuper de moi, pour qu’elle ne souffre plus. Et puis je savais qu’elle allait retrouver son fils, parti lui aussi peu de temps avant, Annick, ma première épouse – sa petite sœur du ciel dont elle reçut nombre de messages – ainsi que ses êtres chers et tous ceux qu’elle avait aidé à retrouver l’espoir après un deuil
Nous nous sommes rencontrés à l’Institut Métapsychique International de Paris où, à l’époque, il existait une cellule de recherche sur la Tci. Lors d’une réunion de travail, je remarquais une jeune femme blonde au fond de la salle et, lorsque je m’en ouvris à Monique Simonet avec qui je travaillais déjà à ce moment, je dois dire qu’elle perçu de suite mon intérêt profond, alors que pour moi ce n’était encore qu’une simple constatation, du moins le pensais-je. Mais elle avait raison puisque de réunion en réunion de travail, notre relation s’affinait chaque fois un peu plus jusqu’au point d’envisager l’union de nos deux destins. Ce fut fait concrètement un beau jour de 1992.
C’est ainsi que, sous l’impulsion de Monique Simonet, nous en vînmes à créer l’association Infinitude la même année. Une aventure passionnante commençait alors, dans laquelle nous nous lançâmes corps et âme, ne ménageant ni notre temps ni notre énergie.
Dès le début, alors que la Tci en était à ses balbutiements, en France tout au moins, nous avons eu l’idée de faire un tour de France afin de mieux la faire connaître. De multiples souvenirs jalonnent ces 23 étapes que nous avons réalisées dans les grandes villes de France, accompagnés à chaque fois d’une bonne dizaine d’intervenants, dont nos amis François Brune, Catherine Taittinger, Michèle Riffard+. Ensuite, nous avons continué, comme des pèlerins, parcourant les routes de France et diffusant sans relâche la bonne parole de la continuité de la vie après la mort terrestre.
En parallèle, nous organisions des réunions d’expérimentation en Tci et écriture spirituelle, facultés propres à Monique, puisque dotée d’une oreille exceptionnelle de perception de ces murmures et voix venues d’ailleurs. Tout cela pour le plus grand bonheur de ceux et celles qui y ont participé, retrouvant souvent l’espoir après la réception d’un message de leurs aimé(e)s, leur permettant ainsi de continuer leur chemin terrestre en attendant de joyeuses retrouvailles dans ce monde où nous irons tous un jour. Pour qu’une mémoire perdure de tout cela, nous avons écrit, à trois mains : Monique, Annick et moi-même, deux livres sur nos aventures communes : « En communion avec nos défunts » et « L’infinitude de la vie ».
Dans un autre livre, celui de notre vie, un large chapitre vient de se terminer avec l’envol de Monique, mais un autre commence, elle dans son monde de lumière et moi dans ce monde de matière, mais toujours en profonde communion d’âmes…
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