PHOTO PARANORMALE de la MAMAN d’ Yves LINÈS
Guy Revol, notre ami landais, pratique la transcommunication vidéo, c’est-à-dire l’enregistrement par le truchement d’une caméra, et d’un téléviseur, antenne débranchée, des images de personnes dans « l’Au-Delà ». (Pour en savoir plus sur le sujet et sa pratique, voir l’article dans notre rubrique : Transcommunication vidéo)
Il y a une dizaine d’années, Guy Revol m’avait proposé d’effectuer une vidéo, afin d’essayer d’obtenir Maman. Quelques temps après lors d’une réunion où nous nous sommes retrouvés, Guy me porta un cliché qu’il avait reçu lors d’une de ses séances. Je dois dire que je fus merveilleusement surpris quand je visionnais la photo, sur laquelle apparaissait le visage de celle qui est toujours si chère à mon cœur. Maman est partie de l’Autre côté du Voile en 1990, à l’âge de 79 ans, et voilà qu’elle se présentait sur l’épreuve, huit ans après, dans l’époque de sa quarantaine ici sur terre, pratiquement conforme à une photo que je possédais d’elle à cette période.
La coiffure était identique à celle des photos de ces années là, mais surtout et principalement je retrouvais le regard, « SON » regard, ce regard tant chéri qui reste gravé en moi. Je percevais sur ce cliché le contour bien distinct de la pupille de son œil gauche, dont je considère le détail comme le signe d’une preuve supplémentaire. Les prunelles de nos yeux ont la particularité de se dilater ou de se rétracter en fonction des variations d’intensité de la lumière, dans le but d’aider ou de protéger la rétine. Maman avait une petite anomalie à l’une de ses pupilles dont l’orifice central de l’iris demeurait dans la même position de distension, qu’elle se trouvât en zone d’ombre ou de forte luminosité. N’avait-elle pas voulu ainsi me faire un « clin d’œil » ? N’avais-je point raison de penser qu’ici m’était de plus octroyé ce signe par relation à ce détail particulier ?
Sur beaucoup de visages reçus en transcommunication vidéo qu’il m’a été donné l’opportunité de visionner, il est peu commun de distinguer nettement la forme des yeux ; apparaît plus fréquemment dans un ombré le contour de la cavité orbitale, l’organe restant par lui-même d’une perception floue ou inexistante. Aussi je ne puis que remercier de toute mon âme qu’il m’ait été permis de cerner si distinctement la forme de son œil, me remettant ainsi en mémoire dans toute mon émotion, l’acuité reconnaissable de son regard.
Un grand merci aussi à Guy Revol « photographe de l’Invisible » qui de toute sa générosité m’a fait un présent de choix.
Yves LINÈS
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