Mon Amour d’Éternité, par son mari Raymond (avec écoute de voix)Sylvie

« Sylvie m’a prouvé la survivance de la vie après la mort physique »

Rencontre d’un amour de jeunesse

Comme beaucoup de gens, le chemin de ma vie a croisé celui de nombreuses personnes, une seule cependant devait marquer à jamais mon existence. A notre première rencontre, un jour de janvier 1981, cette jeune fille aux yeux d’une beauté incroyable m’a séduit aussi par sa simplicité. Rapidement, au fil des mois qui passaient, je me rendais compte combien grandissaient l’affection et l’amour qu’elle avait pour moi, et combien de même croissait celui que je ressentais pour elle. Je compris très vite qu’elle serait le grand amour de ma vie. Durant ces vingt cinq années de bonheur passées à ses cotés, l’amour entre nous n’a cessé de s’amplifier. Il a toujours été le plus fort, il s’est révélé une aide précieuse pour surmonter les passages difficiles qu’il nous faut souvent traverser dans la vie. Il a été aussi un magnifique soutien dans les moments de grandes turbulences.

La vie qui s’écoule nous prend dans un tourbillon. Le quotidien et le matériel imposent ses droits, et le temps qui passe nous entraîne inéluctablement. Néanmoins le bonheur que nous vivions était parfait, nous traversions ces instants dans une sérénité et une osmose totale, tout se déroulait merveilleusement bien. S’il nous arrivait parfois d’envisager avec appréhension que tout cet édifice de félicité pouvait s’effondrer, qu’il était possible à la mort de frapper et de mettre un terme à cet immense bonheur, à tout ce vécu, très vite nos pensées s’en détournaient.

Un terrible combat

Pourquoi nous arrivait-il d’avoir des idées funestes, était-ce une prémonition ? Un ressenti ? Depuis trois mois maintenant ma femme se plaint par moment de douleurs dans une jambe et de petits dérèglements du transit. Nous sommes début septembre 2003, devant mon insistance et par son inquiétude aussi, Sylvie consulte un spécialiste ; après le passage au scanner le terrible pronostic tombe : tumeur digestive avec métastases pulmonaires, hépatiques et osseuses. Le premier contact avec la cancérologue fut terrifiant. Elle m’annonça sans ménagement l’atroce verdict, elle prononça des mots terribles : « ce qui arrive a votre femme est horrible, le diabète ne se guérit pas, il se soigne, le cancer ne se soigne pas et ne se guérit pas, il se prolonge » puis elle prononce cette sentence : « votre femme, je vais la prolonger ». Le sol se dérobait, la terre s’effondrait, une envie de hurler me submergeait ; je ne comprenais pas, les mots ne venaient plus, j’étais complètement anéanti. Savoir son amour condamné est une chose tellement affreuse qu’il n’y a pas de mots pour exprimer la douleur intérieure, et permanente qui m’étreignait, et me hanta assidûment dès lors.

Il fallait continuer, et malgré les traitements lourds, ma femme se battait de toutes ses forces, sans jamais une plainte ; pourtant je voyais combien elle souffrait dans sa chair, mais aussi dans son moral ; jamais elle ne prononcera le mot cancer. Un an de cauchemars et de souffrances pour Sylvie, avec les séances de chimio, les rayons, et tous les autres examens douloureux qui s’y greffaient.

Une entrevue de décembre 2004 avec la cancérologue venait mettre un terme à toute mon espérance. Les mots qu’elle prononça me précipitaient dans un nouveau cauchemar : « votre femme n’a plus que trois mois a vivre, c’est certainement le dernier noël qu’elle passera avec vous. » Sur ses paroles que je refusais d’admettre, je ne pouvais dès lors m’empêcher de penser à la mort, cette mort qui m’a toujours fait si peur. Je vivais à partir de cet instant avec la crainte de la « séparation », et la peur atroce de cette perte physique qui se rapprochait chaque jour davantage.

Trois mois plus tard l’inexorable se produisait ; après une intervention chirurgicale de dernière chance ma femme était vaincue ; elle succombait à cette terrifiante maladie.

Une autre compréhension

A peine ses yeux s’étaient-ils refermés sur le mystère de la mort, que déjà sa présence me manquait terriblement. Ma souffrance se faisait si vive, si violente que mon souhait était aussi de ne plus vivre. Son regard et tout son être hantaient mes jours et mes nuits d’insomnies. Mais la vie doit reprendre impitoyablement, malgré tout ! Mon travail me permettait de combler ces heures de cauchemar, sans pour autant bien sûr alléger ma douleur, il me forçait seulement à avancer.

Depuis l’instant où je sus que ma femme était condamnée, j’ai toujours gardé cependant, et malgré le verdict de la cancérologue, la conviction intime d’une possible guérison. Néanmoins cette mort qui planait au dessus d’elle m’amenait parfois, et paradoxalement, à penser à mon oncle Yves Linès, qui depuis plusieurs années, après le décès de sa mère, affirmait à ma femme et à moi même, que la mort n’est qu’un passage. Il soutenait aussi qu’il est possible de communiquer avec les défunts. Il avait fait, à la suite de son deuil, une recherche personnelle qui l’avait conduit à cette certitude. Toutefois, en ce qui me concernait, sa conviction se heurtait, à cette époque, à mon total scepticisme, et mon grand cartésianisme m’avait d’ailleurs, toujours, poussé impérativement à réfuter et à occulter totalement ces phénomènes paranormaux. Ma femme, beaucoup plus réceptive, en parlait avec lui, mais hors de ma présence.

La Transcommunication

Après le « départ » de Sylvie, mon grand amour, Yves a été assez proche de moi, un soir où il était venu dîner, la conversation s’engagea sur ce sujet qui quelques temps plus tôt m’aurait laissé absolument indifférent, et m’eût même heurté. J’écoutais toutes ces explications qu’il me donnait et qui représentaient alors le fruit de ses quinze années de recherches. Il me parla de transcommunication, cette technique qui permettait, comme il me l’assurait, la possibilité d’enregistrer sur un magnétophone la voix des défunts. J’en vins alors à lui dire que si Sylvie était bien vivante dans cet autre monde, comme il le prétendait, il m’en fallait la preuve ; seul la réception de sa propre voix enregistrée par moi-même, me donnerait une confirmation absolue.

Au regard de ma peine et surtout de mon scepticisme, il revint un autre soir avec un magnétophone et des cassettes sur lesquelles étaient gravés des paroles, et des messages qu’il avait reçus de cet autre Monde, et qu’il me fit écouter. A mon grand étonnement, j’entendais ces voix bien audibles de personnes dites décédées. Je fus particulièrement interpellé par celle d’une personne qui s’est enregistrée sur son magnétophone, placé au rez-de-chaussée, dans la maison d’une de ses amies, alors que lui descendait l’escalier de l’étage. Je pouvais parfaitement entendre sur les bruits des pas d’Yves qui se posaient sur les marches, les mots prononcés par une voix féminine, alors qu’il me disait s’être trouvé seul dans l’habitation. Je suis quelque peu déconcerté, mais mon cartésianisme exige toujours des preuves, des preuves personnelles. Au cours de cette même soirée il m’explique toute la pratique de la T.C.I, et m’apprend aussi à cerner les messages ; il me conseille également la lecture du livre de Monique Simonet : « A l’écoute de l’invisible », qui décrit toute cette technique.

Dans les jours qui suivirent, je me procurai cet ouvrage, comme bien d’autres traitant d’une possible après vie. De même, mu par mon impérative volonté de preuves, je fis l’achat du magnétophone recommandé ainsi que d’un micro ; tout le matériel qui devait rendre réalisable une communication avec cet autre monde. Le livre de madame Simonet avait considérablement imprimé mon esprit, les récits qui y étaient relatés, comme les réponses que l’auteur avait reçues en TCI, me donnaient à penser, de plus en plus, qu’Yves disait vrai. Cependant pour en être bien convaincu, il fallait que je réceptionne moi-même des messages de ma femme, ou éventuellement de personne décédées de ma propre famille. Mes débuts en transcommunication s’avérèrent assez difficiles de par ma méconnaissance du sujet d’abord, et par mon quota de scepticisme ensuite. Les premières écoutes ne donnaient rien et le doute recommençait à me submerger et à faire loi.

Les Preuves

(Pour une meilleure écoute de ces voix, nous les avons dupliquées plusieurs fois à la suite).

Après plusieurs contacts que je considérai infructueux, je téléphonai à Yves et lui fis part de ma déception de ne rien entendre ; il m’affirma néanmoins qu’il devait y avoir quelque chose, car il est pratiquement toujours réceptionné un petit message. A une autre de ses visites, il écouta mes cassettes, et à ma grande surprise cerna la voix d’un homme qui avait imprimé cette phrase : « je te suivrai »,

puis une autre aussi qui faisait réponse à une de mes questions quémandant la présence de Sylvie : « elle est pas là, t’as Raymond ? ».

Yves m’apprit alors qu’il s’agissait sûrement d’un Guide qui me suit et qui m’épaule. Sylvie, elle, n’avait probablement pas pu venir car cela ne faisait que trois mois qu’elle était « partie », et après une telle souffrance, ajouta-t-il, elle doit être dans la période, dite du sommeil réparateur. Il m’expliqua alors, en quelque sorte, la cartographie de l’Au-Delà. Cependant il m’encouragea aussi à continuer les enregistrements.

Quelques temps plus tard, l’association dont Yves est le président, (« Source de vie Toulouse »), organisait une conférence, je décidais de me rendre, pour la première fois, à celle du vendredi soir, accompagné de ma mère. Je suis surpris du nombre de participants, et surtout de l’éclectisme de cette assemblée. L’intervenante de la soirée était un médium, Michèle Riffard, qui en vint à un moment à effectuer des expériences médiumniques en direct dans la salle. Le troisième contact que reçoit le médium s’adresse à ma mère : « j’ai une dame pour vous ! Elle me dit : « J’en avais assez, je ne voulais plus de cette souffrance » ; elle vous fait savoir aussi que vous vous êtes occupée d’elle comme une mère : « merci à vous pour tout ce que vous avez fait », puis Michèle Riffard ajoute : « Je vois cette dame qui me montre son alliance et qui me dit, on a essayé de me la retirer, ou de me l’enlever, mais elle est contente de l’avoir à son doigt, elle me la fait voir ». Elle se tourne maintenant vers moi, et me demande : « vous êtes son mari ? » c’est alors que je réponds « non », par un raisonnement qui me fait penser, toujours dans mon souci de preuve, que si cette médium est réellement en contact avec mon épouse, Sylvie va lui dire qu’effectivement je suis bien le mari. Mais devant ma réponse négative Michèle Riffard revient à nouveau vers ma mère pour terminer le contact avec quelques signes supplémentaires.
Malgré tout je suis très interpellé par le message qui faisait référence à la bague ; il n’y avait que quatre personnes dans la confidence de ce détail. A la clinique, juste avant l’enlèvement de son corps physique, ma mère avait suggéré d’enlever l’alliance à Sylvie pour que je puisse éventuellement la porter ; mais je n’avais pas voulu, j’avais tenu à ce que ma femme parte avec cet anneau au doigt, qui symbolisait notre union jusque dans la mort. Au regard de ce signe probant, j’étais certain ce soir là, que le médium avait effectivement établi la communication avec mon grand amour.
Quinze jours plus tard, j’effectuai un nouvel enregistrement en TCI, le premier depuis le contact médiumnique de cette soirée. Avant de commencer je demandai la protection des Guides, comme Yves me l’avait enseigné, puis j’allumai les appareils et posai la première question : « Est ce que quelqu’un peut me parler de Sylvie ? », je continuai ensuite avec diverses demandes durant un quart d’heure environ. A la fin du contact, dans le suivi, je procédai à la réécoute de l’enregistrement. Juste après cette demande faite à quelqu’un de me donner des nouvelles de ma femme, je pus entendre cette voix très audible, même forte, faire cette remarque : « vous nous avez trompés ».

Je suis abasourdi par cette réponse, et je comprends ce qu’elle veut dire car j’ai fait immédiatement le rapprochement avec celle que j’avais donnée à Michèle Riffard le soir où elle m’avait demandé si j’étais le mari. Effectivement j’avais menti au médium en niant que j’étais l’époux de Sylvie, et maintenant il m’en était fait le reproche sur la bande. Il n’y avait ensuite, sur tout le contact, plus aucun autre message reçu.

Aujourd’hui, cela fait presque un an que ma femme est passée de l’autre côté du voile. Cependant, je continue d’être en « relation » avec elle, non seulement par la pensée, mais aussi par tous les signes qu’elle me donne, comme par ces contacts en transcommunication par lesquels j’ai la grâce de réceptionner des messages avec sa voix exacte. Pourtant il n’est pas toujours évident pour eux de reconstituer l’inflexion ou le timbre qu’ils avaient ici sur terre.

Par ces enregistrements, je suis de plus en plus convaincu maintenant de la réalité de notre survivance, tant la précision des réponses est incontestable. J’ai de surcroît commencé à faire des contacts pour des personnes de mon entourage qui m’en ont fait la demande. Je tente à mon tour d’apporter un réconfort, mais en même temps finir de parachever ma certitude en recevant pour d’autres des messages précis de leurs aimés, dont je ne sais au préalable absolument rien de leur vie passée ici. Tous ces mots, ces phrases reçues, m’apportent la preuve que les êtres que je contacte son toujours vivants dans un Ailleurs où nous serons un jour à nouveau réunis.

Dans un contact établi avec l’oncle de ma femme, que je n’ai pas eu la chance de connaître, je lui demandais entre autre : « êtes vous bien vivant Mr P… ? » réponse : « mais bien sûr » ou encore : « ah oui ». A une question posée, dans un but de reconnaissance, pour qu’il me dise le nom de la société dans laquelle il avait travaillé ici, j’obtins : « l’APC », effectivement il était bien employé à cette usine qui portait aussi comme sigle : l’ONIA. Ou encore : « avez-vous un message pour votre famille, que je puisse transmettre ? », je reçus : « je pense à vous ».

Par la suite j’ai effectué d’autres enregistrements en compagnie de la mère de ma femme. A un de nos appels sa maman lui demande dans un souci de preuve aussi : « ma petite chérie est-ce que tu pourrais me dire comment s’appelle mon chien, tu l’aimais bien ? » ; En réponse elle obtint d’abord : « ma maman » ; démontrant dans l’instant présent que Sylvie voyait bien sa mère ; puis l’on pouvait entendre à la suite, sur la bande : « nico », qui était exactement le nom du chien.

Je posais moi-même une question : « elle aimerait avoir un message de ta part pour elle ? » la réponse venait après :

« tu es dans mon cœur ».

Je formulai aussi : « comment vas-tu ma poulette ? », nous pouvions entendre alors : « ça va »,

ma femme répondait toujours ces deux mots quand ont lui demandait comment elle allait. Ce jour là, par la teneur des messages sa mère était emplie de joie.

Lors de mes appels, quand je sollicite la permission de parler à Sylvie, très souvent j’entends ces quelques interventions provenant d’une autre personne : « Sylvie elle est pas là »

A une autre question que j’avais posée à Sylvie : « peux-tu me dire qui m’a appris la transcommunication ? ». Ma femme répondit : « c’est Yves ». (difficile à cerner, car le bruit du support est resté sur le message)

Les plus beaux messages que j’ai reçu avec la voix exacte de ma femme, sont les premiers dans mes débuts, notamment un : « oui »

que ma fille a écouté, et reconnu formellement sa maman, ou encore quand je lui demande comment s’appelle notre fille elle donne son prénom « Laetitia ».

Il fut une période où trois fois de suite j’avais entendu un bruit, toujours au même endroit, prés d’une de mes fenêtres, pendant mes contacts. Il me vint alors l’idée de demander à Sylvie si c’était elle qui se manifestait à ce moment là dans la pièce, elle entérina le fait par ces simples deux mots : « c’est moi »,

qu’elle réussit à donner encore de sa voix exacte, juste quatre mois après son départ. Toutes les personnes de ma famille qui l’ont entendu, ont formellement reconnu son timbre de voix. Je dois avouer avoir pleuré de joie à la première écoute de ce message, tellement il était pur, tellement il émanait d’elle.

C’est hallucinant et merveilleux à la fois car depuis son « envol » je peux toujours l’entendre. Je suis au comble de la joie car j’entrevois ce bonheur des possibles futures retrouvailles avec elle, mais aussi avec tous les gens que l’on a aimés. Ma femme me le confirme dans ces contacts en TCI, avec quelques fois sa voix initiale.

Néanmoins je persiste avec exigence dans mes recherches personnelles sur la TCI ; ayant lu dans son livre que Monique Simonet avait réussi à réceptionner des voix sans aucun support, il me fallait aussi à tout prix, entendre des mots s’imprimer sur la cassette de la même manière. Un soir alors que j’étais en train de préparer mon repas, je place prés de la cuisine mon magnétophone, et le positionne en marche durant le temps de mon dîner tout en m’adressant par moment à ma femme, comme si elle était là, près de moi. A la réécoute, sur les premières questions, je ne perçois rien, mais en fin de bande au moment où encore je m’enquière si Sylvie a pu venir à mes côtés, je peux entendre un très net : « je suis heureuse ».

Une autre fois, bien plus tard, je renouvelle cette expérience, toujours dans la cuisine et dans les mêmes conditions ; tous les appareils électriques éteints. A un moment je constate, un peu agacé, une tâche au sol que j’enlève, avec une éponge que je rince ensuite sous le robinet de l’évier ; à cet instant précis il est possible d’entendre sur la bande : « ne t’énerve pas ».

J’ai tenté aussi des contacts avec mon père « parti » depuis 23 ans dans cette autre dimension. Il m’a donné beaucoup de signes de reconnaissance qui m’ont de même apporté la preuve formelle de cette survivance. Notamment à la demande que je lui faisais de me dire le nom de sa mère, il donna plutôt son prénom qu’il réussit à imprimer d’une voix forte : « C’est Nativa » ;

à noter que « Nativa » n’était pas  son prénom d’état civil, mais le surnom par lequel tout le monde l’avait toujours appelée.

Lorsque je voulus aussi qu’il me dise quel type de commerce sa maman tenait ici, de son vivant sur terre, il répondit : « de pêche »,

effectivement ma grand-mère avait ouvert à l’époque l’un des tous premiers magasins d’articles de pêche sur Toulouse. Mon oncle Yves Linès, qui a entendu ces réponses venant de son frère, fut aussi très content de pouvoir constater le probant des messages reçus, et surtout ce  » c’est Nativa » qui est extrêmement audible.

Synthèse

Voilà ce que je peux dire à ce jour sur mes recherches personnelles et sur une éventuelle survie de tous ceux qui nous ont quittés. Je continue ma quête pour tenter d’avoir des preuves de plus en plus grandes qui sublimeront mon réconfort, et me permettront de mieux vivre cette absence, que je crois maintenant temporaire.

Je voudrais remercier tout particulièrement l’association « Source de Vie Toulouse », Christophe Barbé, Yves Linès, Thierry Barat, Albert et Cathy Archer, Jeannine Sarrazin et toute leur équipe, pour l’aide qu’ils apportent aux gens dans l’épreuve du deuil. Je remercie également les personnes qui viennent à ces réunions et qui par leurs propres expériences, racontées par certains, communiquent aussi un immense espoir.
Egalement un très grand merci aux différents médiums invités dans ces rencontres et qui transmettent aux participants, pour adoucir leur peine et redonner l’espérance, tous les messages que leurs aimés leur envoient depuis cet Au-Delà.

Maintenant je comprends, et j’admets. Je peux dire aujourd’hui que tous ces phénomènes ne sont pas ce que nous appelons des coïncidences, mais bien des faits réels. Je puis en apporter la preuve par tous ces messages reçus en T.C.I, qui constituent maintenant mon audiothèque, et qui pourront, c’est mon but, apporter à tous ceux qui sont dans les affres de la douleur, et du questionnement de la survivance de leurs aimés, un sublime réconfort, comme une réelle certitude.

printemps